Tunis, le mois de Juillet est très chaud et la vie devient compliquée avec la pandémie (9000 cas/jour). La contamination importante aggrave la situation économique (pas de tourisme, restaurants fermés, ..). Les universités sont fermées et les jeunes étudiants africains sont désœuvrés.
Les décès liés à l’immigration clandestine augmentent et moins de jeunes viennent étudier.
Mais l’église tient bon grâce aux efforts des pères et soeurs missionnaires.
La cathédrale est fermée aux visites par décision administrative depuis 3 semaines.
Les mesures sanitaires sont imposées strictement auprès de l’église catholique; les mosquées sont toujours ouvertes, sans gestes barrières.
En semaine quelques religieux et laïcs constituent une petite communauté pour célébrer l’eucharistie, le dimanche la cathédrale est remplie par les africains subsahariens
RES soutient un prêtre missionnaire IVE (Institut du verbe incarné) pour héberger 6 étudiants subsahariens qui ont une vie communautaire et participent à la pastorale de la paroisse; une lettre rédigée par leurs soins témoignent de leur vie à Tunis
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